Le nombre d’écoliers transportés chaque jour de la semaine est en constante augmentation. Selon une étude menée au Royaume-Uni, un automobiliste sur cinq circulant à l’heure de pointe du matin emmène ses enfants dans un établissement scolaire. Quand on sait que les accidents de la route sont la première cause de mortalité chez les moins de 15 ans, l’on comprend la nécessité de convaincre le public, et en particulier les enseignants, les écoliers et leurs parents, de la flexibilité, la sécurité et la sûreté supérieures de l’autobus et de l’autocar. Les associations d’écoles, les gouvernements et les autorités scolaires peuvent par exemple mettre en place des circuits de ramassage scolaire afin de diminuer le transport en voiture privée aux heures de pointe. Le transport scolaire doit également être accessible aux enfants qui habitent loin de l’école, ou en cas de besoins/circonstances spécifiques. Exemple : au Danemark, le transport scolaire est assuré dans un certain rayon maximal. Celui aussi augmente progressivement de 2,5 km pour les premiers degrés d’enseignement à 9 km pour les élèves plus âgés. |